Un maintien dans l’emploi difficile pour les actifs en mauvaise santé
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Publiée le 18 septembre dernier par la DARES (le service des statistiques du ministère du travail) , cette étude souligne qu’une mauvaise santé a des conséquences défavorables sur le devenir professionnel des actifs.
En 2006, un homme actif sur cinq et une femme active sur quatre considèrent que leur santé est altérée. En moyenne plus âgés que l’ensemble des actifs, ils souffrent majoritairement de troubles du sommeil ou de douleurs musculo-squelettiques. L’étude révèle que les actifs à la santé altérée en 2006 sont plus nombreux à avoir pris leur retraite ou à être au chômage quatre ans plus tard, en 2010, que ceux en bonne santé. En revanche, les aménagements ou les changements de poste réduisent le risque de perte d’emploi en particulier lorsque le problème de santé est d’origine physique.
Lire l’étude sur le site du ministère du travail